Page créée le 11/03/2015.
Marque - Référence
Brekina 85501
Type
Unic Izoard ZU 122 de 1959
Commentaires
D’ailleurs, ce pare-brise devrait être en deux parties, même si le montant central est très discret. Le fond des phares n’est pas argenté, ce qui les rend très sombres, comme presque toujours. La cabine n’est pas peinte, sauf les ailes et l’avant du capot. Il manque le chromage sur la baguette au dessus des phares.
Deux rétroviseurs sont fournis, avec miroir, à monter, ainsi qu’un crochet d’attelage arrière. Pas de support de plaque d’immatriculation arrière.
Ce camion se démonte très facilement, rien n’est collé, un bon point si l’on veut modifier ou repeindre quelque chose. Il y a deux emplacements pour assembler le châssis et la cabine, ce qui laisse supposer des versions à châssis plus ou moins long par la suite.
Voici la photo du véhicule démonté.
Si on connaît l’allemand, ou avec l’utilisation (à ses risques et périls !) de la traduction Google, on peut lire l’article de m087.de, qui est assez critique sur ce modèle.
Modifications
Bavures au dessus du pare-brise enlevées. Volant changé (plus mince, noir). Baguette au dessus des phares argentée.
Historique
Citation de roadmaster-087 (lien rompu).
Présenté en 1956, l’Izoard connaîtra plusieurs versions, ZU 120, ZU 121, ZU 122, ZU 123 avec des puissances de 150, 160, 180 ch, et même le ZU 221 en 1964 qui va recevoir un moteur V8 de 225 ch dans un premier temps avant de passer à 270 ch en 1966 et être monté sur les cabines avancées.
Moteur 6 cylindres en ligne, 9840 cm3, 160 ch (possibilité de 195 ch avec turbocompresseur). Vitesse maxi : 75 km/h. Pneus 12.00-20 X ou 6,20.
Sur les « primeur », la « capucine » au-dessus de la cabine servait à stocker les cageots vides pour le retour, en laissant la place libre pour un chargement sur le plateau.
Essai de traduction de la notice Brekina qui se trouve sur la boîte.
UNIC ZU 122 Izoard
UNIC a fait partie des grands acteurs internationaux des véhicules commerciaux avant que la marque française ne soit fusionnée en 1976 dans le groupe Iveco.
Notre modèle remonte à l’année 1954, lorsque le camion UNIC série ZU nouvellement développé a été présenté avec une cabine à capot moderne. La forme distinctive de ce véhicule est due au designer Philippe Charbonneaux. UNIC décrit la ligne comme « cabine semi-avancée ». En fait, la cabine était située — pour un capot très inhabituel — presque sur l’essieu avant. Il y avait deux longueurs de capot selon la longueur des moteurs de 4 et 6 cylindres. Notre modèle correspond à la version longue avec moteur six cylindres de 9,8 litres, la version la plus performante, conçue pour un poids total de 19 t. Il dispose de phares doubles à la mode, introduits en 1957 sur le ZU 121. Avec cette cabine arrivent les noms de paysages français, cols et montagnes. La cabine lourde a reçu dès lors le nom de série Izoard, d’après le Col de l’Izoard, situé dans les Alpes françaises du Sud à l’altitude de 2361 m. En 1959, une nouvelle révision a lieu, le modèle haut de gamme « lzoard » fait maintenant 160 ch et est nommé ZU 122. Après un lifting en profondeur en 1962 et une révision technique avec de nouveaux moteurs V8 diesel, la série a duré jusqu’à la fin de la production UNIC en 1976.
Documents :
- Article Wikipedia.
- Très nombreux documents et photos sur unic-center.ch.
- Photos sur baumaschinenbilder.de.
- Photos sur le
magnum31gb.skyrock.com(lien rompu). - Photos sur le site fierdetreroutier.com.
- Photos sur le site fondationberliet.org.
Cliché anonyme sur magnum31gb.skyrock.com (lien rompu).
| Cote 1 | Réelle | 1:87 | Modèle |
|---|---|---|---|
| Longueur châssis | 7 590 1 8 590 2 9 670 3 |
87,2 98,7 111,2 |
95,4 |
| Longueur cabine | 3 305 4 | 38,0 | 38,5 |
| Largeur cabine | 2 400 | 27,6 | 27,7 |
| Hauteur cabine | 2 635 | 30,3 | 30,0 |
| Hauteur longerons | 1 095 | 12,6 | 11,8 |
| Empattement | 5 100 | 58,6 | 57,8 |
| Voie avant | 1 996 | 22,9 | 23,0 |
| Voie arrière | 1 865 | 21,4 | 23,0 |
| Diamètre roues | 1 110 5 | 12,7 | 12,6 |
| Largeur pneus | 300 | 3,4 | 3,2 |
Source :
unic-center.ch
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Ce qui frappe d’abord, c’est le pliage du châssis derrière la cabine. Il se trouve que c’est le calage dans la boîte qui produit cela, car les longerons du châssis sont très faibles. Une fois le camion sorti de la boîte, le châssis reprend à peu près sa forme correcte.
À première vue, l’ensemble est correct, sauf la bâche très brillante et les roues non peintes. Mais il y a de grosses bavures de plastique en haut du pare-brise, et le volant est beaucoup trop épais.