25/01/2020.
Je ne vais pas m’étendre beaucoup sur cette réalisation en impression 3D, car l’utilisation de l’impression en 3D ne m’a pas entièrement satisfait sur plusieurs points :
Curieusement, la rugosité des surfaces n’a pas de lien évident avec leur oblicité.
Chaque réalisation, celle-ci comme celle décrite plus loin, fait appel à une association des deux techniques, impression 3D et soudage de métal, mais dans des proportions différentes.
Vue de loin, la réalisation en 3D fait illusion. Son montage est quand même plus rapide et réclame moins de technicité que celle en métal soudé qui fera aussi appel à des pièces en 3D, mais en faible nombre, et qui reviendra au total moins cher.
Voici quelques photos de cette première réalisation, présentée sur un petit diorama construit pour l’occasion. Les seules pièces qui ne sont pas en impression 3D sont les passerelles, les échelles et la totalité du cadre de préhension, que j’appellerai ensuite spreader par paresse intellectuelle… Ce spreader sera décrit, davantage détaillé, dans la deuxième construction.
On remarquera que la cabine de conduite est absente. En effet, c’est la pièce qui m’a posé le plus de difficultés, et la première a fini explosée en morceaux ! À l’heure où j’écris, je n’en ai pas encore terminé avec ces problèmes.
Vous pouvez promener la souris sur les images pour en voir plus de détails.
Test de l’horizontalité du spreader avec une caisse mobile LS Models. Notez que la préhension s’effectue sans problème, pour autant que le conteneur respecte la norme NEM. Le réglage de la longueur des câbles se fait très simplement.
Les marquages ont été faits sur du papier spécial décalcomanie, avec mon imprimante jet d’encre. C’est assez simple et peu coûteux, mais il y a quelques inconvénients :